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Ce livre poursuit le d bat philosophique entam au premier tome. L'intentionnalit , dont l'existence et les effets apparaissent indubitables, conduit une nigme: comment l'intention agit-elle ? Ce deuxi me volume montre qu'il existe, au niveau de la gen se de l'intention, une n cessaire ind termination. Cette gen se, d crite comme une mergence, comparable aucune autre forme d' mergence d crite dans le monde mat riel, masque une ind termination fondamentale rendant impossible de concevoir les voies de recherche pour une explication scientifique, ce qui n'emp che ni analyses de corr lations, ni mod lisations. Agissant au niveau du champ fondamental ind termin de la mati re (identifi au champ probabiliste quantique), l'intention profite de ce champ ind termin , pr sent au niveau c r bral, et peut ainsi agir co t nerg tique nul. La relation entre capacit intentionnelle et corps ne peut donc tre d crite ni par une philosophie moniste ni par une philosophie dualiste. La seule solution exige une reconnaissance de la validit des deux points de vue, ce qui n'est pas concevable, mais rappelle les conclusions de la physique quantique elle-m me.
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Ce livre poursuit le d bat philosophique entam au premier tome. L'intentionnalit , dont l'existence et les effets apparaissent indubitables, conduit une nigme: comment l'intention agit-elle ? Ce deuxi me volume montre qu'il existe, au niveau de la gen se de l'intention, une n cessaire ind termination. Cette gen se, d crite comme une mergence, comparable aucune autre forme d' mergence d crite dans le monde mat riel, masque une ind termination fondamentale rendant impossible de concevoir les voies de recherche pour une explication scientifique, ce qui n'emp che ni analyses de corr lations, ni mod lisations. Agissant au niveau du champ fondamental ind termin de la mati re (identifi au champ probabiliste quantique), l'intention profite de ce champ ind termin , pr sent au niveau c r bral, et peut ainsi agir co t nerg tique nul. La relation entre capacit intentionnelle et corps ne peut donc tre d crite ni par une philosophie moniste ni par une philosophie dualiste. La seule solution exige une reconnaissance de la validit des deux points de vue, ce qui n'est pas concevable, mais rappelle les conclusions de la physique quantique elle-m me.