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Le virus de l'immunod ficience humaine (VIH) de type 1 touche plus de 33 millions de personnes dans le monde. Gr ce aux traitements antir troviraux hautement actifs, l'infection peut tre contenue mais le virus ne peut tre radiqu de l'organisme. L'immunoth rapie est une alternative ces traitements qui induisent de fr quents effets ind sirables, conduisant une mauvaise observance et terme l'apparition de r sistances. L'utilisation de vecteurs canarypox (ALVAC-VIH) a t test e chez plus de 1400 sujets sains: ils sont bien tol r s et immunog nes. Dans le cadre de strat gies d'immunoth rapie sp cifique, ils ont d j t test s chez environ 160 sujets infect s par le VIH-1. En association de l'interleukine-2 et des lipopeptides, ils permettent, chez environ un quart des patients, un contr le de la r plication virale l'arr t des traitements. Bien qu'insuffisants, ces premiers r sultats sont encourageants, mais soul vent de nombreuses questions.
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Le virus de l'immunod ficience humaine (VIH) de type 1 touche plus de 33 millions de personnes dans le monde. Gr ce aux traitements antir troviraux hautement actifs, l'infection peut tre contenue mais le virus ne peut tre radiqu de l'organisme. L'immunoth rapie est une alternative ces traitements qui induisent de fr quents effets ind sirables, conduisant une mauvaise observance et terme l'apparition de r sistances. L'utilisation de vecteurs canarypox (ALVAC-VIH) a t test e chez plus de 1400 sujets sains: ils sont bien tol r s et immunog nes. Dans le cadre de strat gies d'immunoth rapie sp cifique, ils ont d j t test s chez environ 160 sujets infect s par le VIH-1. En association de l'interleukine-2 et des lipopeptides, ils permettent, chez environ un quart des patients, un contr le de la r plication virale l'arr t des traitements. Bien qu'insuffisants, ces premiers r sultats sont encourageants, mais soul vent de nombreuses questions.