Le Perfectionnisme de Stanley Cavell

Le coeur de cet essai part de la g mellit de Nietzsche et Emerson r v l e par Stanley Cavell. Pas plus que celle d'Emerson, la pens e de Nietzsche n'est ennemie de la libert . Servirait-elle pareillement une d mocratie qui s'en honorerait? Mais cette question est-elle simplement possible, ici, tant donn le tour herm neutique et l'horizon d'une cl ture de la m taphysique d fendus par toute une partie influente de la philosophie contemporaine (qui pr tend s'alimenter
Nietzsche) et, l , avec la pr dominance de la th orie politique la plus sourde (avec Nietzsche, cette fois, comme contre-mod le)? Rien ne permettrait une telle affirmation si n’ tait survenu le plus clatant retour de l'Am rique
la voix d'Emerson: l’ lection de B. H Obama, une diff rence nouvelle qui nous regarde. Pour effectuer l'autre moiti du chemin, une reprise nous a sembl n cessaire vers la d couverte d'un certain type d'autorit en philosophie pour penser la possiblit d'un
d passement de la th orie philosophique . L'essence de ce qu'est un
texte , ses pouvoirs et ses places en sont chang s. C'est une
auctorialit

nouvelle qui trouve ses donn es imm diates dans une culture d livr e