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Le present travail s'interesse au probleme de financement du deficit budgetaire ainsi qu'a sa capacite a soutenir la croissance economique. Son cadre d'application est la Republique Democratique du Congo. L'objectif de l'etude est d'eclairer les interrelations entre le deficit budgetaire, la pression fiscale, la masse monetaire, le financement exterieur et le produit interieur brut. Pour ce faire, une modelisation vectorielle autoregressive(VAR) a ete envisagee. La principale conclusion a laquelle aboutit cette etude est que la baisse accrue de recettes fiscales est la principale cause de l'accroissement du deficit budgetaire. Cette situation a conduit l'Etat a recourir principalement a la creation monetaire mais aussi au financement exterieur pour resorber le deficit chronique. Cependant, contre tout attente, ce deficit n'a pas eu d'impact sur le volume du produit en Rdc. Ainsi, nous recommandons de reduire au minimum, sans un rejet integral, les possibilites de financement monetaire des deficits publics mais aussi que le recours au financement exterieur soit desormais alloue de facon qu'il favorise la croissance economique.
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Le present travail s'interesse au probleme de financement du deficit budgetaire ainsi qu'a sa capacite a soutenir la croissance economique. Son cadre d'application est la Republique Democratique du Congo. L'objectif de l'etude est d'eclairer les interrelations entre le deficit budgetaire, la pression fiscale, la masse monetaire, le financement exterieur et le produit interieur brut. Pour ce faire, une modelisation vectorielle autoregressive(VAR) a ete envisagee. La principale conclusion a laquelle aboutit cette etude est que la baisse accrue de recettes fiscales est la principale cause de l'accroissement du deficit budgetaire. Cette situation a conduit l'Etat a recourir principalement a la creation monetaire mais aussi au financement exterieur pour resorber le deficit chronique. Cependant, contre tout attente, ce deficit n'a pas eu d'impact sur le volume du produit en Rdc. Ainsi, nous recommandons de reduire au minimum, sans un rejet integral, les possibilites de financement monetaire des deficits publics mais aussi que le recours au financement exterieur soit desormais alloue de facon qu'il favorise la croissance economique.