Readings Newsletter
Become a Readings Member to make your shopping experience even easier.
Sign in or sign up for free!
You’re not far away from qualifying for FREE standard shipping within Australia
You’ve qualified for FREE standard shipping within Australia
The cart is loading…
Les peuples heureux n'ont pas d'histoire . La citation est peut-etre trop connue, elle n'en conserve pas moins tout son interet car, lorsque Georges Pompidou s'exprima en ces termes, il figea par la meme occasion une part de ce que la memoire collective conserve de son septennat tronque. Sans doute en aurait-il concu une legitime fierte et egalement serait-il interloque par certaines lectures contestataires et a charge faites desormais de cette periode.
Les historiens, censes donc, selon ses souhaits, ne pas avoir trop de travail avec cette periode, se trouvent desormais places au contraire devant l'exploration de ce qui semblait aller de soi.
L'empirisme et le subjectivisme du questionnement s'effacent devant l'identification d'indicateurs dits
serieux . En la matiere, l'histoire des representations s'adosse au chapitre d'une solide histoire des modernites materielles. Il reste que l'on ne tombe pas amoureux d'une croissance economique et que le bonheur national n'est pas que la somme de vies heureuses egoistes et insouciantes… L'analyse de la place laissee par un President, certes en majeste, mais discret et non intrusif, permet de reinterpreter les canons d'un bonheur prive susceptible d'etre ressenti par chaque citoyen. Ce dont la France pompidolienne herite, ce qu'elle porte de neuf, de durable, ce qu'elle rend plus accessible et ce qu'elle va leguer par la suite, voila les perspectives que ce livre entend explorer au cours d'une reflexion collective nourrie par la confrontation avec des acteurs.
$9.00 standard shipping within Australia
FREE standard shipping within Australia for orders over $100.00
Express & International shipping calculated at checkout
Les peuples heureux n'ont pas d'histoire . La citation est peut-etre trop connue, elle n'en conserve pas moins tout son interet car, lorsque Georges Pompidou s'exprima en ces termes, il figea par la meme occasion une part de ce que la memoire collective conserve de son septennat tronque. Sans doute en aurait-il concu une legitime fierte et egalement serait-il interloque par certaines lectures contestataires et a charge faites desormais de cette periode.
Les historiens, censes donc, selon ses souhaits, ne pas avoir trop de travail avec cette periode, se trouvent desormais places au contraire devant l'exploration de ce qui semblait aller de soi.
L'empirisme et le subjectivisme du questionnement s'effacent devant l'identification d'indicateurs dits
serieux . En la matiere, l'histoire des representations s'adosse au chapitre d'une solide histoire des modernites materielles. Il reste que l'on ne tombe pas amoureux d'une croissance economique et que le bonheur national n'est pas que la somme de vies heureuses egoistes et insouciantes… L'analyse de la place laissee par un President, certes en majeste, mais discret et non intrusif, permet de reinterpreter les canons d'un bonheur prive susceptible d'etre ressenti par chaque citoyen. Ce dont la France pompidolienne herite, ce qu'elle porte de neuf, de durable, ce qu'elle rend plus accessible et ce qu'elle va leguer par la suite, voila les perspectives que ce livre entend explorer au cours d'une reflexion collective nourrie par la confrontation avec des acteurs.