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Ces Vues sur Mallarme rassemblent la plupart des etudes essentielles que Robert Greer Cohn, le grand specialiste du poete, a publie dans diverses revues durant des decennies. L'ouvrage accueille une preface de Michel Deguy, ce qui annonce en quelque sorte son importance. Les vues de Cohn sont tres variees: parfois panoramiques, quand il replace Mallarme dans son siecle et lui assigne sa place precise au sein du mouvement symboliste; parfois lointaines, quand il etudie le rapport entre la poetique mallarmeenne et le chant des Grecs; parfois encore precises, de details, lorsqu'il aborde quelques thematiques recurrentes dans l'oeuvre de Mallarme (la ville, les quatre elements, la memoire, etc.) ou qu'il disseque la poetique de ce dernier dans des textes varies, du simple poeme au theatre poetique (Heriodiade) jusqu'aux contes metaphysiques, comme l'etrange Igitur, publie en 1925 a titre posthume. Une grande partie du livre est enfin consacree aux rapports entre Mallarme et certains poetes ou prosateurs (Keats, Laforgue, Proust ou Wallace Stevens), ainsi qu'aux comptes-rendus critiques d'etudes ou d'ouvrages portant sur Mallarme.
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Ces Vues sur Mallarme rassemblent la plupart des etudes essentielles que Robert Greer Cohn, le grand specialiste du poete, a publie dans diverses revues durant des decennies. L'ouvrage accueille une preface de Michel Deguy, ce qui annonce en quelque sorte son importance. Les vues de Cohn sont tres variees: parfois panoramiques, quand il replace Mallarme dans son siecle et lui assigne sa place precise au sein du mouvement symboliste; parfois lointaines, quand il etudie le rapport entre la poetique mallarmeenne et le chant des Grecs; parfois encore precises, de details, lorsqu'il aborde quelques thematiques recurrentes dans l'oeuvre de Mallarme (la ville, les quatre elements, la memoire, etc.) ou qu'il disseque la poetique de ce dernier dans des textes varies, du simple poeme au theatre poetique (Heriodiade) jusqu'aux contes metaphysiques, comme l'etrange Igitur, publie en 1925 a titre posthume. Une grande partie du livre est enfin consacree aux rapports entre Mallarme et certains poetes ou prosateurs (Keats, Laforgue, Proust ou Wallace Stevens), ainsi qu'aux comptes-rendus critiques d'etudes ou d'ouvrages portant sur Mallarme.