Il n'y a rien, dans l'ordre des choses humaines, de plus n cessaire, de plusd cisif et de plus f cond que ce que nous d signons par ce mot: le travail. Comprendre et pratiquer, jeune encore, la grande loi du travail, selon le coursordinaire des choses, c'est d cider l'avenir et fixer la destin e; c'est assurer dansses premiers jours la f condit de tous ses jours; c'est ouvrir dans la vie qui commence les sources profondes et larges d'o sortent les grandes choses, dontl’ clat doit rejaillir sur la vie tout enti re. La paresse, au contraire, verse sur l'homme des maux incalculables. Elle blesseson enfance, elle fl trit sa jeunesse, elle brise sa virilit , elle attache
toutes sespuissances le d shonneur de la st rilit . C'est que le travail est sur la terre la supr me fonction de l'homme, et toute sa vie d pend de la mani re dont il saitl'accomplir. (www.sainteface.net)