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Le pr sent travail pr tend se reporter aux attributs du mensonge d finis dans deux articles, le second en r ponse au premier, respectivement de Raymond Jamous (1993) et de G rard Lenclud (1999), articles qui abordent l'aspect sociologique du mensonge, auquel nous voulons opposer, par la voie ouverte
nous par l'article de M. Lenclud, une approche litt raire, qui, pensons-nous, r v lera valeurs et dialectiques non totalement per ues par les deux auteurs dont les textes sont
l'origine de celui-ci. On le voit donc, il s'agira d'une orientation interdisciplinaire, avec ce que cela repr sente de risques et de tensions analytiques et ex g tiques.D'un point de vue m thodologique, notamment, nous pr tendons d montrer que, contrairement au postulat de ces auteurs, le fait qu'il y ait mensonge ou tromperie n'implique pas obligatoirement qu'il y ait morale. Dit autrement, ce n'est pas parce que le mensonge existe que cela lui donne une valeur positive de d veloppement pour la soci t . C'est un ph nom ne concommitant, mais rien a priori ne permet de d duire, comme ils le font, qu'il s'agit d'un point d'assise de l’ volution. Notre point de vue est qu'au contraire, c'est un processus de r ticence au progr s. Comme nous pensons le d montrer, mais d s
pr sent l'on peut en citer deux exemples concrets: les rejets et les proc s contre Galil e et Darwin.De la m me mani re, par cons quent, dans l'organisation sociale, qui est au centre des pr occupations de MM. Jamous et Lenclud, l'existence du mensonge dans la soci t , qui lui attribue donc une fonction (par le fait m me d'exister), ne lui donne pas, encore une fois, par l m me, per se et post hoc, une valeur positive dans le d veloppement humain du groupe.
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Le pr sent travail pr tend se reporter aux attributs du mensonge d finis dans deux articles, le second en r ponse au premier, respectivement de Raymond Jamous (1993) et de G rard Lenclud (1999), articles qui abordent l'aspect sociologique du mensonge, auquel nous voulons opposer, par la voie ouverte
nous par l'article de M. Lenclud, une approche litt raire, qui, pensons-nous, r v lera valeurs et dialectiques non totalement per ues par les deux auteurs dont les textes sont
l'origine de celui-ci. On le voit donc, il s'agira d'une orientation interdisciplinaire, avec ce que cela repr sente de risques et de tensions analytiques et ex g tiques.D'un point de vue m thodologique, notamment, nous pr tendons d montrer que, contrairement au postulat de ces auteurs, le fait qu'il y ait mensonge ou tromperie n'implique pas obligatoirement qu'il y ait morale. Dit autrement, ce n'est pas parce que le mensonge existe que cela lui donne une valeur positive de d veloppement pour la soci t . C'est un ph nom ne concommitant, mais rien a priori ne permet de d duire, comme ils le font, qu'il s'agit d'un point d'assise de l’ volution. Notre point de vue est qu'au contraire, c'est un processus de r ticence au progr s. Comme nous pensons le d montrer, mais d s
pr sent l'on peut en citer deux exemples concrets: les rejets et les proc s contre Galil e et Darwin.De la m me mani re, par cons quent, dans l'organisation sociale, qui est au centre des pr occupations de MM. Jamous et Lenclud, l'existence du mensonge dans la soci t , qui lui attribue donc une fonction (par le fait m me d'exister), ne lui donne pas, encore une fois, par l m me, per se et post hoc, une valeur positive dans le d veloppement humain du groupe.