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This title is printed to order. This book may have been self-published. If so, we cannot guarantee the quality of the content. In the main most books will have gone through the editing process however some may not. We therefore suggest that you be aware of this before ordering this book. If in doubt check either the author or publisher’s details as we are unable to accept any returns unless they are faulty. Please contact us if you have any questions.
Et nous, les petits, les obscurs, les sans-grades… Ainsi debute la tirade du vieux grognard Flambeau, dans la piece L'Aiglon , d'Edmond Rostand. Dans la Grande Armee de Napoleon 1er, il y a les hommes, mais il y a aussi les chevaux. Eux qui pendant des siecles ont porte les hommes a la guerre, et a qui on n'a jamais rien demande, ne sont-ils pas aussi des obscurs et sans-grades ? La parole est donnee au cheval Nestor, qui rejoignit l'armee imperiale au lendemain d'Austerlitz, et participa a l'aventure de la Grande Armee jusqu'a Waterloo. En compagnie de son cavalier, le simple soldat Henri Fourneau, il va suivre Napoleon dans sa conquete de l'Europe, mais aussi dans la retraite de Russie et affrontera la coalition des allies au cours de la bataille qui mettra fin au Premier Empire. Nos chevaux, ce sont nos jambes , dit le cavalier. Loin des speculations politiques, des strategies militaires, des luttes de pouvoir, les soldats, pour beaucoup arraches au monde paysan, souvent illettres, soignent leurs chevaux qu'ils considerent comme leurs amis, cherchent a tirer de petits profits et meditent sur les desseins des grands. Avancer, se battre, tuer… La guerre, c'est leur metier, celui du soldat et celui du cheval.
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Et nous, les petits, les obscurs, les sans-grades… Ainsi debute la tirade du vieux grognard Flambeau, dans la piece L'Aiglon , d'Edmond Rostand. Dans la Grande Armee de Napoleon 1er, il y a les hommes, mais il y a aussi les chevaux. Eux qui pendant des siecles ont porte les hommes a la guerre, et a qui on n'a jamais rien demande, ne sont-ils pas aussi des obscurs et sans-grades ? La parole est donnee au cheval Nestor, qui rejoignit l'armee imperiale au lendemain d'Austerlitz, et participa a l'aventure de la Grande Armee jusqu'a Waterloo. En compagnie de son cavalier, le simple soldat Henri Fourneau, il va suivre Napoleon dans sa conquete de l'Europe, mais aussi dans la retraite de Russie et affrontera la coalition des allies au cours de la bataille qui mettra fin au Premier Empire. Nos chevaux, ce sont nos jambes , dit le cavalier. Loin des speculations politiques, des strategies militaires, des luttes de pouvoir, les soldats, pour beaucoup arraches au monde paysan, souvent illettres, soignent leurs chevaux qu'ils considerent comme leurs amis, cherchent a tirer de petits profits et meditent sur les desseins des grands. Avancer, se battre, tuer… La guerre, c'est leur metier, celui du soldat et celui du cheval.