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Depeches du Vietnam rassemble la derniere serie de reportages de guerre de John Steinbeck. Inedit en France, cet ouvrage reprend les chroniques ecrites a partir de 1966 pour le magazine Newsday par celui qui recut le Prix Pulitzer en 1940 pour les Raisins de la Colere et le prix Nobel de litterature en 1962.John Steinbeck, a 64 ans, est deja un homme malade et fatigue - il mourra deux ans plus tard - quand il part pour couvrir le conflit qui mine l'Amerique. Mais il a beau bien connaitre la guerre - il a suivi les boys en Europe en 1943 pour le New York Herald Tribune et a ete blesse en Afrique du Nord - il est deroute par ce qu'il decouvre: une guerre qui ne comporte ni front, ni arrieres, ecrit-il. Embarquant sur les vedettes qui sillonnent les deltas, volant a bord des helicopteres Huey, il retrouve egalement son fils, futur ecrivain lui-aussi, qui a choisi de s'engager. Est-ce l'une des raisons pour lesquelles Steinbeck, dans ses depeches, soutient la guerre menee par l'Amerique? S'il emettait des reserves en prive sur cette dangereuse aventure, il serre les rangs derriere la politique suivie par le president Lyndon Johnson, ce que lui reprocheront beaucoup d'intellectuels. Lui le defenseur des faibles et des opprimes, l'ecrivain social qui en son temps fut soupconne d'etre communiste est devenu belliciste mais est surtout desespere que ces merveilleuses troupes n'apportent pas une victoire rapide. Le traducteurTraducteur prolifique des grands noms de la litterature anglo-saxonne (Bret Easton Ellis, Ernest Hemingway, Jack Kerouac, Francis Scott Fitzgerald?), Pierre Guglielmina a recemment traduit aux Belles Lettres, de Francis Scott Fitzgerald, Une vie a soi (Gout des idees, 2011).
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Depeches du Vietnam rassemble la derniere serie de reportages de guerre de John Steinbeck. Inedit en France, cet ouvrage reprend les chroniques ecrites a partir de 1966 pour le magazine Newsday par celui qui recut le Prix Pulitzer en 1940 pour les Raisins de la Colere et le prix Nobel de litterature en 1962.John Steinbeck, a 64 ans, est deja un homme malade et fatigue - il mourra deux ans plus tard - quand il part pour couvrir le conflit qui mine l'Amerique. Mais il a beau bien connaitre la guerre - il a suivi les boys en Europe en 1943 pour le New York Herald Tribune et a ete blesse en Afrique du Nord - il est deroute par ce qu'il decouvre: une guerre qui ne comporte ni front, ni arrieres, ecrit-il. Embarquant sur les vedettes qui sillonnent les deltas, volant a bord des helicopteres Huey, il retrouve egalement son fils, futur ecrivain lui-aussi, qui a choisi de s'engager. Est-ce l'une des raisons pour lesquelles Steinbeck, dans ses depeches, soutient la guerre menee par l'Amerique? S'il emettait des reserves en prive sur cette dangereuse aventure, il serre les rangs derriere la politique suivie par le president Lyndon Johnson, ce que lui reprocheront beaucoup d'intellectuels. Lui le defenseur des faibles et des opprimes, l'ecrivain social qui en son temps fut soupconne d'etre communiste est devenu belliciste mais est surtout desespere que ces merveilleuses troupes n'apportent pas une victoire rapide. Le traducteurTraducteur prolifique des grands noms de la litterature anglo-saxonne (Bret Easton Ellis, Ernest Hemingway, Jack Kerouac, Francis Scott Fitzgerald?), Pierre Guglielmina a recemment traduit aux Belles Lettres, de Francis Scott Fitzgerald, Une vie a soi (Gout des idees, 2011).