Readings Newsletter
Become a Readings Member to make your shopping experience even easier.
Sign in or sign up for free!
You’re not far away from qualifying for FREE standard shipping within Australia
You’ve qualified for FREE standard shipping within Australia
The cart is loading…
This title is printed to order. This book may have been self-published. If so, we cannot guarantee the quality of the content. In the main most books will have gone through the editing process however some may not. We therefore suggest that you be aware of this before ordering this book. If in doubt check either the author or publisher’s details as we are unable to accept any returns unless they are faulty. Please contact us if you have any questions.
La lecture de ce livre, Les Mythes fondateurs de la politique israelienne ne doit creer aucune confusion, ni religieuse, ni politique.
La critique de l'interpretation sioniste de la Thora, et des “livres historiques”, (notamment ceux de Josue, de Samuel et des Rois) n'implique nullement une sous-estimation de la Bible et de ce qu'elle a revele, elle aussi, sur l'epopee de l'humanisation et de la divinisation de l'homme. Le sacrifice d'Abraham est un modele eternel du depassement par l'homme de ses provisoires morales et de ses fragiles logiques au nom de valeurs inconditionnelles qui les relativisent. De meme que l'Exode demeure le symbole de l'arrachement a toutes les servitudes, de l'appel irresistible de Dieu a la liberte.
Ce que nous rejetons, c'est la lecture sioniste, tribale et nationaliste, de ces textes, reduisant l'idee geante de l'Alliance de Dieu avec l'homme, avec tous les hommes, et de sa presence en tous, et en tirant l'idee la plus malefique de l'histoire humaine celle de peuple elu par un Dieu partial et partiel (et donc une idole) justifiant par avance toutes les dominations, les colonisations et les massacres. Comme si, dans le monde, il n'y avait d’ “Histoire sainte” que celle des Hebreux.
De ma demonstration, dont nul chainon ne fut apporte sans en donner la source, ne decoule nullement l'idee de la destruction de l'Etat d'Israel mais simplement sa desacralisation cette terre, pas plus qu'aucune autre, ne fut jamais promise mais conquise, comme celle de la France, de l'Allemagne ou des Etats-Unis, en fonction des rapports de force historiques en chaque siecle.
Alors, je vous le demande qui est coupable ? celui qui commet le crime ou celui qui le denonce ? Celui qui cherche la verite ou celui qui cherche a la baillonner ?
$9.00 standard shipping within Australia
FREE standard shipping within Australia for orders over $100.00
Express & International shipping calculated at checkout
This title is printed to order. This book may have been self-published. If so, we cannot guarantee the quality of the content. In the main most books will have gone through the editing process however some may not. We therefore suggest that you be aware of this before ordering this book. If in doubt check either the author or publisher’s details as we are unable to accept any returns unless they are faulty. Please contact us if you have any questions.
La lecture de ce livre, Les Mythes fondateurs de la politique israelienne ne doit creer aucune confusion, ni religieuse, ni politique.
La critique de l'interpretation sioniste de la Thora, et des “livres historiques”, (notamment ceux de Josue, de Samuel et des Rois) n'implique nullement une sous-estimation de la Bible et de ce qu'elle a revele, elle aussi, sur l'epopee de l'humanisation et de la divinisation de l'homme. Le sacrifice d'Abraham est un modele eternel du depassement par l'homme de ses provisoires morales et de ses fragiles logiques au nom de valeurs inconditionnelles qui les relativisent. De meme que l'Exode demeure le symbole de l'arrachement a toutes les servitudes, de l'appel irresistible de Dieu a la liberte.
Ce que nous rejetons, c'est la lecture sioniste, tribale et nationaliste, de ces textes, reduisant l'idee geante de l'Alliance de Dieu avec l'homme, avec tous les hommes, et de sa presence en tous, et en tirant l'idee la plus malefique de l'histoire humaine celle de peuple elu par un Dieu partial et partiel (et donc une idole) justifiant par avance toutes les dominations, les colonisations et les massacres. Comme si, dans le monde, il n'y avait d’ “Histoire sainte” que celle des Hebreux.
De ma demonstration, dont nul chainon ne fut apporte sans en donner la source, ne decoule nullement l'idee de la destruction de l'Etat d'Israel mais simplement sa desacralisation cette terre, pas plus qu'aucune autre, ne fut jamais promise mais conquise, comme celle de la France, de l'Allemagne ou des Etats-Unis, en fonction des rapports de force historiques en chaque siecle.
Alors, je vous le demande qui est coupable ? celui qui commet le crime ou celui qui le denonce ? Celui qui cherche la verite ou celui qui cherche a la baillonner ?