L'histoire de l'or s'est toujours crite en lettres de sang. L'orpaillage en Guyane fran aise n’ chappe pas
la r gle. Tous les ingr dients du roman d'aventure sont pr sents: exotisme, sexe, violence, humour, amour…L'ancien l gionnaire Karl Heins Breiner est orpailleur sur le fleuve Maroni. Son pouse est agress e alors qu'elle vendait son or. Karl fait appel
son ami Jo MATERA alias Le Killer pour g rer son entreprise en son absence.Le Killer… Un surnom bien mal adapt

ce chasseur protecteur, armurier de son tat… Il connait la for t amazonienne et utilise ses connaissances pour se tirer d'affaire.C'est le premier tome d'une s rie de 4.L'auteur est un professionnel de la for t r put . Au-del de l'intrigue toujours palpitante et d veloppant des situations in dites permettant de d mystifier ce monument v g tal qu'est la magnfique for t amazonienne. Les astuces donn es sont authentiques et participent
d mystifier la for t amazonienne. Ces ouvrages constituent une immersion en jungle et l'occasion d'en livrer quelques secrets souvent in dits. A signaler que la lecture des ouvrages de la s rie Guyane Killer tait recommand e pour les militaires de Guyane au titre de formation.Extrait: Sous la pluie battante, quelques personnes d guis es passaient devant la villa. Les instruments s’ taient tus. Une femme aper ut l'homme arm , Mireille
terre. Elle hurla: - Des voleurs ! Des voleurs !Le groupe regarda la maison. Deux hommes fuyaient. L'un d'eux portait un manche de pioche et un sac plastique, l'autre un revolver. Ils se lanc rent
leur poursuite. Les malfrats avaient trente m tres d'avance. Le Taurus parla
deux reprises. La premi re balle s’ crasa contre un poteau t l phonique et miaula. Une voiture en stationnement arr ta la seconde. Le groupe de poursuivants clata dans un ensemble parfait. La chasse tait finie. Simon s’ tait pench sur Mireille. Elle respirait encore. John, appuy au mur, les yeux hagards et le teint gris, se tenait la poitrine
deux mains. Un sifflement s'en chappait. De petites bulles d'air, m lang es
un sang trangement rose, per aient sous la chemise. Les membres du groupe arrivaient en ordre dispers . Un homme portant un grotesque masque de vieillard jugea la situation et hurla
ses coll gues d'appeler des secours.Dans le vacarme des sir nes, deux ambulances arriv rent en m me temps qu'une camionnette de gendarmerie. Mireille et John, install s dans des brancards, furent transport s
l'h pital. Samissi dut se rendre
la caserne pour audition et d clara ne pas conna tre les agresseurs. Un message radio partit en direction de la brigade de Grand Santi.Dans un tat grave, John ne pouvait tre interrog . Les m decins r servaient leurs pronostics. Peu apr s dix-huit heures, un h licopt re de la Protection civile d collait de Saint-Laurent pour l'a roport de Cayenne-Rochambeau. Mireille Breiner dans le coma, tait
bord. Un Boeing 747 d'Air France en partance pour Paris via la Guadeloupe avait attendu son arriv e pendant quelques minutes. Elle y fut embarqu e.